A la vue d’une poésie…
Quand bien même et pour sûr les CRS protègent…
Les vols de lacrymaux brisèrent les cortèges,
Attroupements civils ou simples passants las,
Mieux valu regarder dans le ciel aux éclats,
Touchée vive au bas dos s’affala demoiselle,
Près de la pharmacie loin d’eux, sortis des ruelles ;
Provocation ou non, citoyen en perdition,
Je voudrais par ces mots retenir l’attention :
Trop oppressés se sont révoltés mes ancêtres,
Fut un roi trop avare et maintenant… Des traîtres,
De part leurs prétentions et leurs provocations,
Nous mènent, tous avant vers la révolution ;
Armés de nos esprits, accompagnés de cris,
N’ayons peur, avec honneur, de ce qui est la vie.
Mardi 29.03.06. au matin.
Etienne C.